Moins, c’est plus – Conférence et repas
Une économie plus juste, plus solidaire et plus agréable est-elle possible ? Pourrions-nous l’utiliser pour mettre fin à la crise écologique actuelle ? Et à quoi ressemblerait cette économie ?
Lieve Herijgers, directrice de Broederlijk Delen, présente une vision inspirante de l’économie de demain. Une économie post-capitaliste, dans laquelle nous nous éloignons de la domination et de l’exploitation toujours plus grande. Une économie dans laquelle nous évoluons vers plus de réciprocité et de régénération. Elle explique comment Broederlijk Delen va mettre cette vision en pratique dans les années à venir.
Ensuite, trois sociétés qui essayent de mettre cette philosophie en pratique, se présentent:
COLLECTMET est une initiative de Cultureghem contre le gaspillage alimentaire à Cureghem. Avec une équipe de bénévoles, le coordinateur Elvis sensibilise les vendeurs du marché et les visiteurs. Ils collectent également les fruits et légumes invendus et les partagent avec les personnes qui en ont besoin.
Tournevie est un outilthèque à Maelbeek. Les outils sont parmis ses achats qui sont utilisé peu fréquemment. L’outilthèque permet de réduire la quantité de matières primaires nécessaires afin de servir un plus grand nombre d’utilisateur. Une initiative inspirante.
Casablanco est une asbl active, depuis 17 ans, dans le secteur de l’économie sociale. Son objectif est double : l’insertion socio-professionnelle, principalement dans la construction, de personnes en difficulté sur le marché de l’emploi et l’amélioration du cadre de vie en Région bruxelloise, essentiellement dans les quartiers défavorisés.
Prometheus est une société qui conseille des sociétés dans l’industrie manufacturière en matière de stratégie. Ayant travaillé pendant plus de dix ans chez Volvo Construction, Nele Van Campfort, cofondatrice de Prometheus, lutte contre le problème de « l’obsolescence planifiée »: une pratique dans laquelle les producteurs font en sorte que leurs produits tombent rapidement en panne pour que les gens soient obligés d’en acheter un nouveau plus tôt. Le modèle des « produits en tant que service » offre une réponse à cette question.
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